jeudi 22 octobre 2009

L'origine des parasites humains - Chapitre II : La croissance

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Le rôle de Manda reprend de l'importance alors qu'elle est toujours enceinte et qu'Adam, maintenant âgé de plus d’un an, semble être tout ce qu'il y a de plus normal chez un bébé de son âge, démontrant des comportements typiques, ayant appris à marcher, à faire des sons et ayant un appétit grandissant. Le problème venait justement de cet appétit, pas pour la nourriture, ça c'était normal, mais pour le sang.

Manda pu observer deux règles durant cette courte période et ce sont deux règles extrêmement simples en fait, si simples et si sévères qu'elles ressemblent à une prison biologique. Premièrement, le cycle se répète à tous les trois ou quatre mois si l'"allaitement" est complet, période durant laquelle le bébé devient progressivement "malade" jusqu'à être sur le point de mourir et éventuellement mourir si seulement Manda l'avait décidé. Deuxièmement, le sang animal ne peut être utilisé comme substitut, il n’a absolument aucun effet guérisseur, il FAUT du sang humain.

Ces règles, Manda les a vite comprises et alors que le bébé grandissait, elle avait aussi vite compris qu'il était rendu impossible de subvenir aux besoins d'Adam par elle-même, sauf si elle voulait en finir avec sa vie. C’est probablement à ce moment qu’elle comprit qu’il n’y avait plus d’autres choix que de récolter le sang ailleurs, car Adam allait juste en nécessiter de plus en plus en vieillissant. Bien sûr, un corps humain à son entière disposition serait la seule façon de combler les prochains cycles, mais allait-elle commettre un meurtre ou plutôt plusieurs meurtres?

De son bord, Joseph était un homme innocent, comblé, vivant dans le mensonge qu'il ne pouvait percevoir. Il voyait sûrement qu'il y avait quelque chose d'étrange, mais histoire de ne pas bouleverser sa vie, nous pensons qu'il a choisi délibérément de croire au mensonge. Après tout, peu importe comment la condition de son fils pouvait se dégrader, il savait qu'il allait être guérit à sa rentrée du travail un soir, il n'avait pas besoin d'en savoir plus.

Manda avait toute l'horrible besogne à accomplir et nous ne pouvons comprendre quelles furent ses motivations pour continuer d'aider Adam après qu'il ait dévoré les restants de son premier fils, mais tout semblerait porter à croire qu'elle aimait Adam plus que tout. Serait-ce parce qu'il avait une partie de son fils en lui? Encore pire, le voyait-elle comme un Dieu à vénérer, une manifestation physique de ce qui n'avait jusqu'à maintenant été rencontré par aucun humain? Tout jugement de la sorte n'est pas fondé et impossible à confirmer ou infirmer, alors abandonnons cette voie et continuons notre histoire.

Cette femme qui est responsable de notre péché originel allait commettre les actes les plus atroces avec la croissance d'Adam, qui était vraiment plus une victime de sa condition, rejeté par la nature et prêt à mourir si ce n'était de la présence d'un pur hasard engendré par sa belle-mère. Pour Manda, donner son premier-né, la chair de sa chair, et ensuite son propre sang, ne suffisaient pas à lui faire déceler l'aspect contre-nature d'Adam? Elle allait maintenant permettre de faire pousser la branche de l'évolution qui venait avec Adam, en enlevant une vie humaine pour la lui faire absorber. Sachant fort bien que le processus devrait être répété plusieurs fois par année. Comme un Dieu demandant des sacrifices, Manda lui apportait une nouvelle source de vie. Est-ce que ça valait même la peine?

Le petit Adam grandit, 2 ans, 3 ans, 4 ans, 5 ans... 8 ans. 29 vies humaines utilisées comme vulgaire carburant pour faire tourner le moteur à l'intérieur d'Adam pendant huit courtes années. Manda n'avait toujours que deux enfants en incluant Adam, elle n'avait probablement pas le courage d'en avoir un autre (se pourrait-il qu'elle soit tombée enceinte à nouveau, mais qu'elle ait gardé le ou les fœtus subséquents comme nourriture pour Adam?) Son propre fils était un enfant parfaitement normal et même tout simplement parfait sur toute la ligne. Elle ne semble jamais avoir particulièrement éprouvé quelque chose pour lui, tous nos documents parlent d'elle et d'Adam allant quelque part, faisant telle chose, mais jamais de ses activités faites avec son autre enfant. Joseph semble avoir pris celui-ci sous son aile, lui apprenant le travail manuel brute, car il n'avait jamais osé trop brusquer le corps d'Adam qui lui semblait trop fragile et propice à faiblir.

Manda avait appris à Adam à ne rien révéler sur la quantité de sang qu'elle lui apportait au moment venu, même pas à son père. C'était leur secret et il ne savait même pas lui-même d'où ce sang provenait, tout ce qu'il savait était qu'il se sentait mieux et même en plein forme après l'avoir ingurgité. C'était comme si le sang était une drogue lui permettant d'améliorer ses performances pour un certain moment jusqu'à atteindre un pic, après quoi la descente rapide de ses performances et de son état pouvaient être observées. C'est pourquoi malgré tout, il ne réussit jamais à connecter avec Joseph pour qui il fallait être apte à travailler à tous les jours ou bon à rien.

Pourtant, les premières semaines après avoir absorbé le sang, il pouvait pratiquement courir le marathon sans jamais sentir de fatigue et tous ses sens étaient accrus. Nos documents ne sont pas précis à ce point-là, mais une petite interprétation des écrits avec notre propre expérience nous fait suggérer qu'il ressentait ces effets, sans toutefois avoir toutes nos capacités acquises aujourd'hui, sinon sa vie aurait été plus remarquée, demandez ça à nos frères brûlés sur le bûcher pour avoir été trop excentriques!

Adam, comparativement à nous, eut une vie d'innocence, pensant que sa chère maman Manda était sa guérisseuse magique pendant la majeure partie de son enfance, alors qu'elle était occupée à chercher la prochaine victime lui permettant de fonctionner. Plus tard dans sa vie, Adam était corrompu, mais il est difficile de s'imaginer durant son enfance qu'il aurait désiré continuer à vivre s'il avait su le prix à payer. Nous pourrions croire que Manda de son côté avait l'instinct d'un tueur en elle, pouvant tuer si facilement autant de gens sans jamais éveiller les soupçons. Nous n'avons aucune idée de ses techniques, mais d'une certaine façon, même si les analyses d'ADN et toutes ces choses n'existaient pas à l'époque, les capacités de Manda évoquent une forme étrange de respect. Le respect accompagné du mépris par plusieurs de nos confrères.

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jeudi 3 septembre 2009

L'origine des parasites humains - Chapitre I : L'allaitement

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Il fut le premier d’entre nous... Personne ne sait précisément quand, mais il est né il y a au moins quelques milliers d'années dans un village situé près d’un désert. L’histoire qui suit est la sienne, celle de notre ancêtre commun, reconstruite selon les détails et spéculations que nous avons collectionnés à travers les âges. C’est l’histoire de notre famille, de notre existence, n’oubliez pas son importance, car c’est votre culture qui fait de vous ce que vous êtes. Puisqu’il est impossible d’être certain de son nom, appelons-le Adam, comme l’être humain d’origine de la religion catholique. Cet emprunt est notre revanche pour la destruction d’une grande partie de nos connaissances par l’Église il y a quelques centaines d’années, incluant probablement son vrai nom. Ils ont essayé de nous abrutir, de nous assimiler, même de nous éliminer, mais c’est fini!

On nous dit que l’histoire d’Adam commence dans la tristesse et la maladie à la fin d’une grossesse difficile. Sa mère, appelons-la Marie pour s’amuser un peu, a légèrement pâli au long de son calvaire de neuf mois, mais elle a surtout perdu de ses forces. L’accouchement fut problématique, bien qu’elle ait mis au monde un bébé semblant tout à fait normal au départ. Ses voisines qui l’avaient assistée durant son accouchement ont commencé à la surveiller de près lorsqu’elle s’est plainte de sévères douleurs internes au moment même où le cordon ombilical a été coupé. Voyant que son état s’aggravait à vue d’œil, elles décidèrent de faire entrer le père, appelons-le Joseph, bien sûr.

Nous ne pouvons en être certains, mais tous les détails semblent indiquer que Marie souffrait d’hémorragies internes qui ne pouvaient être traitées ou même comprises à l’époque. Elle allait mourir dans d’atroces souffrances sans avoir la chance de regarder son bébé en face, étant devenue aveugle suite aux complications de l'accouchement, mais ce fut peut-être pour le mieux connaissant le reste de l’histoire.

Nos sources disent que Joseph aurait ensuite installé Adam près de sa mère pour qu’elle puisse au moins toucher au fruit de son dur labeur. Ensuite, elle aurait fait promettre à Joseph qu’il s’occupe de l’enfant jusqu’à ce que celui-ci puisse à son tour supporter son père lorsqu’il serait plus vieux, après quoi elle aurait rendu un dernier long soupir, quittant ce monde sans même pouvoir imaginer ce qui se passerait au fil des années.

En moins d’un mois, Joseph s’est remarié avec l’une des voisines présentes à l’accouchement. Ce détail peut sembler choquant de nos jours, mais nous assumons que les coutumes de l’époque et de cette culture étaient favorables à ce comportement visant à s’assurer une descendance.

Manda est une approximation du véritable nom de la femme. Pourquoi avons-nous réussi à conserver son nom mieux que celui des autres? C’est qu’elle a longtemps été considérée comme d’une importance capitale à notre existence et plusieurs de nos prédécesseurs ont écrit sur elle, que ce soit pour la vénérer ou la maudire, vous comprendrez pourquoi. L’Église n’a juste pas pu brûler la quantité massive de documentation à son sujet.

À cause qu’il devait faire vivre sa famille en cultivant sa terre pendant de longues heures, Joseph ne fut pas le premier à remarquer les changements progressifs chez Adam, ce fut Manda la première. À peine quelques mois après leur mariage, elle informa Joseph de ses observations. Elle était aussi présente à la naissance du bébé, alors elle l’avait vu à son premier jour et elle l’avait observé durant plusieurs semaines en train de pâlir et de crier moins fort, comme s’il était à bout de souffle. Joseph ne voulut pas la croire immédiatement et il mit la faute sur le fait que le bébé était toujours à l’intérieur, expliquant sa pâleur et son manque d’air frais. Il le sortit à l’extérieur pour se rendre compte qu’il attrapait rapidement des coups de soleil qui frôlaient la brûlure.

Encore un mois passa, le bébé n’allait pas mieux et les brûlures qui ne guérissaient pas formaient un contraste grandissant avec sa peau qui commençait à devenir de plus en plus pâle à un rythme alarmant. Joseph se dit probablement que si quelque chose devait arriver à son premier fils, sa descendance était maintenant assurée du côté de sa nouvelle femme alors enceinte.

Alors qu’il était parti travailler, Manda fit une fausse couche et du sang se versa sur le sol. C’est fort probablement alors qu’elle était dans tous ses états qu’un phénomène étrange se produit. Le bébé tacheté par ses coups de soleil se mit à boire le sang versé sur le sol. Des restants du fœtus, il s’est nourrit du liquide vital qui circule dans les veines de tout humain normal, il a absorbé ce qui lui manquait pour survivre. Probablement horrifiée par cette vision surréaliste qui a sûrement été interprétée comme une malédiction, Manda ne savait pas comment réagir et elle n’a rien dévoilé à son mari à propos de cette partie du terrible incident, le plus terrible étant que la fausse couche n'était pas la chose la plus grave qui s'était produite.

Bien qu’il fut fort attristé de la perte de son prochain fils, il fut à la fois réjouit des changements qu’il observa chez son premier fils. Il semblait remplit de vie, plus que jamais auparavant, par-dessus tout, il avait repris des couleurs et ses brûlures s’étaient miraculeusement mises à guérir très rapidement.

Les mois passèrent et la femme tomba à nouveau enceinte. Elle observa un curieux phénomène, Adam, qui était apparemment guéri, recommença peu à peu à afficher les mêmes symptômes qu’au départ. Ayant été témoin de la première guérison, mais ne voulant rien dire à son mari de peur qu’il assassine le bébé maudit, la femme s’est volontairement faite une entaille au doigt pour le nourrir. Il semblerait que ça ait marché, mais à peine pour quelques jours. Une simple entaille au doigt ne serait pas assez pour nous permettre de subsister un seul jour, mais c’est parce que nous sommes des adultes. Elle se fit donc plusieurs entailles jusqu’à ce qu’elle ait ramassé un verre de sang pour nourrir le bébé.

Manda commença assez vite à se sentir faible, un peu comme Marie durant la grossesse d’Adam. Ne disant rien à son mari à propos de ses activités douteuses, il était donc extrêmement inquiet que la même chose ne se reproduise à l'accouchement, mais elle savait que ses problèmes étaient causés par son "allaitement rouge", comme nous aimons l’appeler.

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samedi 15 août 2009

Un métier insolite

??? : Suivez le couloir, quelqu'un vous attend...

C'est une routine. C'est ce que je dis à tous mes clients. Ce n'est pas que je déteste les rapports humains, mais je me sens plus à l'aise à énoncer des longues phrases en écrit qu'en parole, vous voyez, c'est ma mâchoire qui n'est pas solide. Ha ha! Elle est bien bonne, un de ces jours, je me ferai MOURIR! Trêve de plaisanteries, où en étais-je? Ah oui, je parlais de mes clients. Le service que je propose est tellement commun que je n'ai littéralement jamais de temps libre, d'ailleurs j'ai dû faire un temps MORT pour écrire ce petit compte-rendu de mon état actuel, après tant d'années de services.

J'en ai servi des clients, beaucoup aujourd'hui et j'en servirai tant d'autres demain. En général, ils me détestent, je leur apporte pourtant la plus grande aide possible à tous leurs ennuis. Ceci dit, ceux qui m'apprécient, je les aime moins. Vous voyez, le plaisir dans ce que je fais, c'est justement de saisir les gens au moment où ils ne s'y attendent pas, si c'est eux qui me demandent littéralement de venir à leurs côtés, je ne peux y prendre plaisir, je suis fait comme ça.

Peut-être que je suis fait comme ça parce que j'ai le travail le plus simple du monde. Vous voyez, je ne peux faire autre chose, mes compétences sont peut-être uniques, mais c'est justement ce qui me contraint à pratiquer mon métier et seulement celui-ci. Je ne devrais pas m'en plaindre, après tout il me permet de voyager, mais je ne peux pas avoir de domicile fixe ou même le temps de me bâtir une VIE. Des gens vous diront que la prostitution est le plus vieux métier du monde, mais je serais empressé des les corriger avec le mien, c'est vrai qu'il commence à devenir vieux.

Je déteste mon métier. Pas parce qu'il est trop simple, car après tant d'années, on s'habitue à faire la même chose, c'est comme si on était dans un état végétatif, comme un MORT-VIVANT. Ha ha ha! Excusez-moi! Je me suis laissé emporter! La vraie raison pour laquelle je déteste mon métier, c'est le contact humain, si varié et différent d'une personne à l'autre, d'une culture à l'autre, je le sais, je voyage constamment.

Au début de ce texte, je disais ne pas détester les rapports humains, malgré qu'eux me détestent, mais en fait j'ai un rapport amour/haine avec la chose. Vous voyez, pour faire le travail que je fais, ne pas avoir de conscience était vraiment mieux et je n'en avais pas quand tout a commencé. Je dis que c'était mieux, mais encore, sans conscience, j'étais vide et je ne pouvais juger de mes actes... À vous de décider s'il vaut mieux être absent ou conscient, bien que dans l'état du clown triste que je suis; pas étonnant que certains enfants redoutent les clowns. La conscience est donc un cadeau EMPOISONNÉ dans ma situation, c'est mieux que rien j'imagine.

Comment ai-je acquis cette conscience, me demanderez-vous? L'ironie dans tout ça, c'est que c'est justement en pratiquant le métier même pour lequel je ne pouvais m'impliquer émotivement que je me suis mis à FAUCHER un peu du VÉCU de chacun et ultimement, me développer une conscience comme la leur. J'ai aussi fini par remarquer qu'autant diversifiées les réactions des gens peuvent être face à ma présence et au derniers recours que je leur offre, elles peuvent toutes être regroupées sous cinq grands groupes communs.

Premièrement, il y a ceux qui refusent de me croire. Ils savent inconsciemment qu'ils n'ont pas le choix, qu'ils ne peuvent rien faire d'autre, que je ne peux rien faire d'autre, mais ils nient pourtant l'évidence. Deuxièmement, il y a les colériques qui non seulement n'acceptent pas leur sort, mais qui se mettent à me crier après et à rejeter la faute sur tout ce qui bouge. Comme si c'était de la faute de quelqu'un si je n'avais rien de mieux à leur proposer, surtout que dans la majorité des cas, ne le répétez à personne, mais c'est la faute du client si je dois lui offrir mon aide. Troisièmement, il y a ce que j'appellerais les vendeurs, des personnes qui sont si habituées à mentir dans leur quotidien pour arriver à leurs fins que quand je leur dis qu'il n'y a qu'une seule route ouverte à eux, ils essaient de marchander pour se donner des chances. «Aller, j'imagine que vous pouvez trouver autre chose, un moyen de tout arranger. Je ne demande pas gros, je ferais n'importe quoi pour que vous me proposiez des meilleurs résultats, je donnerais toute ma fortune pour une dernière chance.» Si je suis là, c'est que C'EST ta dernière chance, pigé!? Quatrièmement, il y a les dépressifs. Malgré que je sois passé par cette phase moi-même, je ne peux la comprendre. J'imagine que c'est pour ça que la dépression est considérée comme un trouble psychologique. Ce qu'il y a d'étrange avec eux, c'est que même s'ils ont finalement compris qu'ils n'avaient plus le choix et même s'ils l'ont partiellement accepté, qu'ils sont sur le point de faire un pas en avant, qu'ils n'ont plus la force de se battre, ils se plaignent encore qu'ils ne savent plus quoi faire. Ces gens sont tellement contradictoires et ils m'irritent presqu'autant que les suivants, car il reste encore ceux qui acceptent bêtement ce que j'ai à leur offrir, comme si c'était bien. Ils sont souvent fiers d'en être arrivé là, ce sont les gens qui m'irritent le plus, car ils en sont arrivés à un point où il n'y a plus de bataille à mener, ça y est ils ont présenté le drapeau blanc. En fait, la bataille n'est jamais finie, sauf quand vous le décidez.

La raison pour laquelle je connais si bien ces cinq grands groupes, c'est que je suis passé par chacun d'eux. La raison pour laquelle je déteste le dernier un peu plus, c'est que c'est justement celui où je suis coincé depuis que j'ai vu qu'il n'y avait rien d'autre à accomplir que ma destinée et que toute bataille était impossible. Je m'appelle Azraël et un jour, le temps sera venu pour vous de me rencontrer, jusqu'à quel point vous battrez-vous?

jeudi 13 août 2009

À propos de Réalité ou fiction?

Bienvenue sur Réalité ou fiction?, car il est parfois impossible de faire la différence entre les deux et franchement, on s'en fout!

Ce blog est destiné à contenir des fictions plus ou moins longues, mais généralement courtes, et plus ou moins réalistes, mais généralement plausibles ou avec une morale applicable à notre monde réel. Elles sont écrites par moi-même, Bobby Roy ou Bob pour les intimes, et quelques-unes par mon ami Solo (qui m'envoie des idées ou textes complets que je retravaille plus ou moins dépendant des cas) dont vous pouvez visiter le site ici. Vous pouvez me contacter ici.

Je ne suis pas un écrivain de renommée mondiale ni même un écrivain de métier, n'ayant aucune publication imprimée attribuable à moi à ce jour. Ceci dit, je suis un fanatique de science-fiction et de matériel remettant en question notre façon de penser.

J'adore un peu tout ce qui est considéré comme geek, c'est d'ailleurs pourquoi j'ai un autre blog partagé avec des amis nommé Geek Mode où je fais des critiques et des suggestions de trucs dans le genre avec des amis. Je vous suggère une petite visite si vous êtes intéressé.

Ici, c'est mon petit coin où je m'adonne à une passion un peu refoulée, écrire. Comme il n'y a aucun moyen de publier plus rapidement, à un niveau international, et de manière moins coûteuse que sur le Web, je suis entièrement satisfait de cette expérience et j'espère que les lectures qui suivront sauront vous satisfaire aussi!